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résume théorique dessin de bâtiment
résume théorique dessin de bâtiment |
DÉFINITIONS :
Les terrassements : Ce sont les travaux qui se rapportent à la modification du relief d’un terrain. Cette modification du sol est réalisée par l’exécution de déblais et de remblais
Le déblais : consiste à abaisser le niveau du terrain par enlèvement des terres.
Le remblais : c’est rapporter des terres, afin de relever ce niveau.
Les mouvements de terre : sont les terrassements de grande surface, opérés en terrain découvert (pour l’exécution des routes, aérodromes, …)
Le décapage : c’est un terrassement de très faible profondeur (environ de 25 cm) et de grande surface.
Les fouilles : sont des terrassement dont la profondeur, rapportée à la surface ou à la largeur, est plus importante. Les fouilles servent à l’exécution des bâtiments.
Le talus : c’est la pente, ou inclinaison, donnée aux parois des terres pour éviter leur éboulement. Il dépend de la nature du terrain
L’emprise d’un terrassement : c’est la limite ou on exécute notre terrassement il est matérialisé par l’intersection des talus (de déblais ou de remblais) et du terrain naturel
Fouille en pleine masse : c’est un terrassement général de la surface à construire, dont la profondeur est limitée, par exemple, au niveau du sol des caves de la construction.
Fouille en rigole ou en fondue : c’est une tranchée dont la largeurs minimale est de 0.40 m, destinée à recevoir les maçonneries, les fondations les canalisations etc….
Fouille en puits : c’est un terrassement de petite surface et de grande profondeur. Ce genre de fouille est exécuté pour l’établissement des fondations de piliers isolés, par exemple. Les dimensions minimales de ces terrassements sont limitées par les moyens de réalisation.
Puisard : c’est un trou de 1 m de profondeur environ (ou demi-tonneau enterré), on l’installe en un point bas de la fouille, vers lequel convergent toutes les eaux de pluie ou d’infiltration drainées par la fouilles. Du puisard, l’eau est évacuée par pompage à l’extérieur de la fouille
Foisonnement
Le foisonnement des terres est l’augmentation de volume consécutive à l’ameublissement provoqué lors de l’extraction. En effet ordinairement la terre extraite d’une fouille occupe un volume supérieur à celui de l’excavation.
Foisonnement passager : c’est celui que l’on obtient à partir d’un déblai sans tasser la terre.
Foisonnement permanent : c’est celui qui reste après damage et tassement de la terre mise en place.
Stabilité Des Talus
La terre mise en tas, lorsqu’elle n’est pas retenue, forme avec la terre, appelé angle de talus naturel.
Réalisation des terrassements.
Les outils et le matériel utilisés pour l’exécution des terrassements dépendent :
de l’importance des travaux ;
des possibilités de l’entreprise ;
des exigences et des impératifs imposés par le chantier lui-même ;
des délais d’exécution
Transport des terres.
Les véhicules les plus employés pour le transport des terres sont : la brouette, le tombereau, les wagonnets, le camion, le dumper, etc. qui sont choisis en rapport avec l’importance du chantier, et le genre de travail à effectuer.
Réalisation Des Remblais
On exécute les remblais par superposition de couches de 0.20 à 0.40 m d’épaisseur, damées et serrées de manière à réduire dans de fortes proportions le foisonnement du matériau rapporté. Pente.
B. ETUDE DES SOLS
UTILITE :
Avant d’étudier un projet de construction, il est indispensable de connaître le sous-sol qui supportera les bâtiments de manière à déterminer :
MOYENS DE CONNAISSANCE DU SOL :
La connaissance du sous-sol peut se faire par différents moyens très variable suivant l’importance du bâtiment, le budget et les moyens disponibles. Les données peuvent être obtenues
IMPORTANCE DE L’ETUDE DU SOL :
par rapport à l’ouvrage à réaliser :
L’étude du sol doit être adaptée au type d’ouvrage à réaliser. Si l’ouvrage est peu important, un petit nombre de sondage judicieusement répartis sur le terrain suffira dans la plupart des cas.
LES DIFFÉRENTS TYPE DE FONDATION
On distingue les différents types de fondation suivant :
fondations superficielles :
semelles continues sous mur.
Semelles isolées sous piliers.
Plots et longrines.
fondation par radier général.
fondations profondes.
Sur puit.
Sur pieux.
FONDATIONS SUPERFICIELLES :
Les fondations superficielles (c’est –à- dire de faible profondeur) sont utilisées lorsque :
le sol capable de la portance nécessaire se trouve à profondeur.
La résistance des couches au cisaillement est suffisante.
La déformabilité du sol est faible.
Semelles continues sous mur :
Les fondations de murs peuvent être réalisées :
en maçonnerie.
en moellons.
en béton armé.
en béton armé
Fondations en briques
Au fin fond de la tranchée on dépose une première assise de briques sur couche de sable rude
Fondations en moellons :
Les fondations en moellons remplissent généralement toute la largeur de la fouille.
Fondations en béton damé :
La coupe de la fondation en béton damé à la forme d’un trapèze isocèle dont les angles à la basse ont au moins 60°.
Fondations en béton armé :
On utilise les semelles en béton armé :
Pour répartir plus uniformément la charge (conséquence de leur plus grande rigidité).
Pour limiter le poids des fondations (fondations plus résistantes donc moins épaisses).
Pour réduire la pression exercée sur le sol en élargissant la semelle ( ce qui nécessite une armature pour résister aux efforts de traction produits au bas de la semelle) .
Semelles isolées sous pilier :
Ces semelles de forme pyramidale ou rectangulaire peuvent être réalisées en béton ou , le plus souvent , en béton armé.
fondation par plots et longrines préfabriquées :
Définitions :
Un plot en béton est une semelle carrée ou rectangulaire massive,
en gros béton, non armé ou peu armé.
Une longrine est une poutre en béton armé qui sert de fondation aux murs.
RADIER GÉNÉRALE :
La radier général se présente sous la forme d’un plateau de fondation qui transmet les charges de la construction sur le sol par une surface égale ou supérieure à celle de l’ouvrage
FONDATIONS PROFONDES :
Lorsque le bon sol se trouve à plusieurs mètres de profondeur il serait
Trop coûteux de descendre des fondations classiques à la profondeur voulue à cause :
- du volume de terres à enlever ;
des étayages à mettre en place ;
- de la difficulté d’exécution de telles fouilles
FONCTIONS DES MURS :
On appelle murs les éléments porteurs verticaux, de section droite,
très oblongue. Les cloisons, en revanche, n’ont aucune fonction portante.
En général : Murs > 15 cm > Cloisons
Les murs doivent remplir certaines fonctions et en permettre
d’autres. Ils doivent notamment :
a) clore visuellement.
b) Permettre l’ensoleillement
LES DIFFÉRENTS TYPES DE MURS :
La figure ci-après indique la terminologie adoptée pour les murs des bâtiments traditionnels, où ils constituent l’élément porteur intégral des planchers et assurent le contreventement de la construction.
Murs de façade :
Le plus souvent parallèles à la rue, ils comportent des ouvertures : portes et fenêtres
Murs pignons- Murs mitoyens :
Le plus souvent perpendiculaires aux murs de façade, ils ont généralement la forme de la toiture (droite ou en pointe). Comportant moins de baies que les b murs de façade, ils ont à supporter le conduit de fumée et les gaines de ventilation.
Murs de façade arrière :
On ne recherche pas pour ceux-ci l’esthétique indispensable aux murs de façade sur rue . Souvent parallèle aux premiers, ils supportent les même charges et par fois des conduits de fumée et gaine diverses.
Murs de refend :
Il est souvent nécessaire de « refendre » les bâtiments trop longs ou trop larges de diminuer la portée des planchers , supporter les conduits de fumée et par fois soutenir la charpente ; on construit alors des murs dits « de refend ». Ils ont en outre un rôle de raidisseur puisque, rejoignant les deux murs de façade, ils sont parfaitement liés avec eux.
Murs déchiffre :
Ils sont destinés à supporter les escaliers.
Murs de clôture :
Construits pour délimiter les propriétés, les murs de clôture sont constamment exposés aux intempéries.
Les murs de soutènement
Les murs de soutènement sont destinés à supporter latéralement une poussée des terres ou le renverser
2 Les appareillages :
3-2-1 Définitions et but :
L’appareillage est la façon dont les brique sont disposée dans un mur ou cloison un appareillage doit :
Condition d’un bon appareillage :
L’appareillage de la maçonnerie doit satisfaire à plusieurs
- les joints verticaux sont décalés entre assises contiguës.
conditions
Acrotères
Les acrotères, poutre de couronnement et corniches en béton, sont isolés au même titre que les toitures.
Allègues
On désolidarise les allèges du gros- œuvre en garnissant les logements des allègue, avant coulage du béton, de plaques d’agglomérés ou de fibres végétales ou de bandes de polystyrène expansé.
Planchers
Les planchers qui s’appuient sur les murs extérieurs sont isolés thermiquement par des blocs de 7 cm d’épaisseur
DEFINITION :
Les cloisons sont des parois de faible épaisseur dont la fonction est uniquement séparatrice et non portante.
Leur rôle principal est de diviser l’intérieur d’un bâtiment.
Elles sont liées aux murs de la construction mais leur structure ne leur permet pas de jouer un rôle de raidisseur, ni de stabilisateur
Cloisons légères entre poteaux :
En carreaux de plâtre entre poteaux : épaisseur 4 à 6 cm, enduits ou non d’après le carreau employé.
En brique plâtrières creuses : épaisseur avec enduit : 5 cm .maintenue entre poteaux de bois.
En briques pleines posées sur champ qui donnent une cloison finie de 7 cm d’épaisseur environ.
Cloisons sans poteaux :
L’industrie produit des agglomérés de ciment dont l’épaisseur est de 7.5 cm , qui fournissent une cloison de 10 cm enduit compris.
Cloisons amovibles :
Il s’agit de cloisons légères amovibles, permettant de transformer suivant les besoins la distribution intérieure d’un appartement, d’un magasin ou d’un bureau.
Citons parmi celles –ci
Le fluage du béton est une déformation lente de celui-ci dans le temps, sous charge permanente. Il se prolonge pendant plusieurs années et son ampleur finale est trois fois plus élevée que la déformation instantanée qui se produit lors de la mise sous charge.
variation de température
Les dilatations des colonnes extérieures apparentes, entraînées par les variations de température, sont préjudiciables à la bonne tenue des cloisons.
Les toitures sont également sujettes à forte dilatation
Maçonnerie armée :
Il est parfois nécessaire de renforcer une cloison (manque de place pour un mur plus épais, charges sur la cloison, etc.….) dans ce cas, on arme la cloisons.
La résistance de la maçonnerie en compression, en flexion et en traction peut être sensiblement augmentée en armant celle_ci. La présence des armatures diminue également les risques de fissures provoquées par les variations dimensionnelles des murs (gonflement, retrait
armatures préfabriquées :
Elles sont en général composées de 2 fils longitudinaux de 4 à 10 mm de diamètre reliés une diagonale de 4 mm de diamètre
Armatures de béton armé :
Des armatures pour béton armé peuvent également être logées dans la maçonnerie, soit horizontalement, soit verticalement
Maçonnerie en pierres naturelles :
La maçonnerie en pierres naturelles est un assemblage d’élément , taillés ou non, réunis le plus souvent par un mortier .
Maçonnerie en moellons – types d’appareillage :
On considère comme moellons les pierres pouvant être manipulées par un seul homme.
Mosaïque hexagonale :
Cet appareillage diffère du précédent par las régularité des moellons employés .Ceux –ci sont pré taillés aux mêmes dimension d’ après gabarit hexagonal
maçonnerie en pierres de taille :
les éléments de pierre de taille sont des blocs dont le volume dépasse 1/15 de mètre cube . Il n’est donc pas possible pour un homme seul d’en assurer la mise en œuvre
Exécution de la maçonnerie en pierres :
Il est nécessaire que chaque maçon ait à sa disposition et sous la main un assez grand choit de pierres
Définition :
Les maçonneries mixtes avec parement en pierre naturelles ou artificielles sont généralement composées :
partie porteuse
La partie porteuse est généralement constituée d’un mur de briques ou de béton. Elle doit être assez résistante
Le revêtement
Il existe une grande variété de pierres naturelles ou artificielles susceptibles d’être employées en revêtement : (chacune a ses caractéristiques propres (aspect esthétique, protection, etc.) qui en font son attrait
Les agrafes
Elles sont des formes très variées : crochets, pattes d’ancrage, goujons etc. Bien plus que le mortier, les agrafes constituent l’élément primordial de support et de fixation des dalles. Aussi doivent –elles avoir certaines qualités indispensables
Les chaînages sont les éléments de liaison entre les différents composants du gros œuvre (murs, planchers, poteaux, panneaux fabriqués). Ils servent à solidariser les éléments verticaux (murs, poteaux, panneaux) et horizontaux (planchers).
FONCTIONS DES CHAÎNAGES HORIZONTAUX :
ils répartissent les charges transmises par le plancher sur le mur.
Ils relient le plancher au mur (chaînage en B.A coulé sur place avec aciers de liaison).
La terminologie usitée pour les détails des éléments des ouvertures est expliquée par les figures de la page suivante.
LES PROBLÈMES :
Les problèmes que posent les ouvertures dans un mur se situent au niveau :
a) de la fixation des portes et des fenêtres dans l’ouverture.
de l’étanchéité contre l’humidité et le vent si le mur est extérieur.
De la reprise des charges au dessus de l’ouverture.
REPRISE DES CHARGES AU DESSUS DES OUVERTURES :
5-1 Généralités :
Au_ dessus des ouvertures des murs il est nécessaire de placer un support pour soutenir la maçonnerie.
Ce support peut être formé par des briques placées debout ou par des arcs maçonnés, mais le plus souvent il est constitué par un linteau.
5-2 le linteau :
C’est une pièce de bois, de pierre, de béton ou de métal fermant la partie supérieure d’une ouverture et soutenant la maçonnerie au – dessus de cette ouverture.
LES PORTES
6-1- Définition
Les portes sont des ouvrages mobiles, placés dans un bâti ou une huisserie et destinés, lorsqu’ils sont fermés, à interdire le passage à travers la baie.
Les portes sont en générale réalisées en bois mais elles peuvent aussi être en acier, en verre, etc.
Les différentes parties de la porte
Parties fixes
- bâti : ouvrage dorment destiné à recevoir la porte. Il est scellé au mur dans lequel est percée la baie, sur l’arête et sur un seul parement de ce mur ; il a généralement de 34 à 80 mm
-contre –bâti : ouvrage dormant complétant éventuellement le bâti et scellé sur
l’autre côté de la baie.
-Huisserie : ouvrage dormant limitant une baie ouverte dans une cloison et faisant toute l’épaisseur de celle-ci.
Parties mobiles
porte simple : ouvrage d’une seule pièce pivotant autour d’un axe placé sur
l’un des côtés et s’ouvrant dans un seul sens.
- porte double : porte comprenant deux parties pour les larges baies.
-porte coulissante : porte à un ou plusieurs vantaux coulissant horizontalement dans leur plan.
porte va-et-vient : porte s’ouvrant dans les deux sens.
- porte fenêtre : fenêtre permettant le passage
Porte extérieurs
Les portes extérieurs se présente en une vaste gamme de tailles , de modèles et de matériaux diverse .Elles peuvent avoir des lignes très simples ou être flanquées de panneaux vitre en guise de décoration .Les portes d’entrée principale des maisons doivent avoir au moins 45 mm d’épaisseur tout fois , les portes d’entrée secondaire peuvent n avoir que 35 mm d’épaisseur lorsqu’elle son on bois plein en bois a âme plein ou à montants et traverses .un coupe froid en métal , en bois en tissu (ou formé d’une combinaison de ses matériaux ) , doit être pose en pour tout de toute porte extérieure .les portes d’entrée principal devraient mesure 810 mm de largeur sur 2030 mm de hauteur conformément aux normes établies .En général , les portes extérieurs sont du type porte plane . Si elles son en bois, leur surface extérieurs de métal remplies d’isolant rigide sont de plus en plus populaires.
bâtis de porte extérieurs
Dans une habitation les bâtis de porte sont habituellement faits de bois , qu’il s’agisse d’une porte métallique ou d’une porte en bois . le bâti d’une porte comprendre le seuil le jambage et la moulure extérieure ; le seuil est l’élément horizontal situé en partie inférieure du bâti de la porte ; étant donné qu’il est sujet à l’usure , on recommande d’utiliser un seuil de sapin ou de chêne débité sur maille . Le jambage se compose de montants latéraux et d’une travers supérieure . le bois de construction utilisé pour construire le bâti doit être feuillu ré pour former l’arrêt de porte. . la moulure extérieure est fixée au pourtour du jambage et elle sert à assujettir le bâti de la porte au mur extérieur . la figure 12-1 montre un bâti typique de porte extérieure en bois
Installation du bâti de porte
Le bâti de porte est maintenant prêt à être installé dans l’ouverture brute. A être installé dans l’ouverture brute. L’ouverture brute devrait être plus large d’environ 20 mm que la dimension hors tout du bâti et plus haute d’environ 10 mm. appliquez une bande de 300 mm de papier de construction perméable à la vapeur d’eau au pourtour de l’ouverture brute .vérifiez la verticalité du côté charnière de l’ouverture brute en clouant une cale de 10 mm au poteau intérieur à base de l’ouverture. Clouez le nombre de cales requis en partie supérieure de l’ouverture
Pose d’une porte extérieure.
Vérifier si la porte est arquée .le cas échéant, placez la face concave contre l’arrêt de porte .placez la porte dans l’ouverture et allouez un jeu de 2 mm.
Tout autre .cet ajustement se fait sans difficulté si le bâti a été construit selon les dimensions de la porte. Il faut prévoir un espace adéquat en haut et en bas de la porte. Insérez des cales entre le bâti et l’ouverture de la côte charnière
Pose des serrures
Il existe plusieurs types de serrures sur le marché. Les serrures s’installent aisément pourvu que l’on ait un peu d’expérience et que l’on observe soigneusement les directives du fabricant la serrure,
Types de porte
Afin de réduire les coûtes de constriction, les entrepreneur se procurent souvent des unités pré assemblées, où bâti et la porte est déjà suspendue au bâti et la serrurerie installée, qu’il suffit de placer dans l’ouverture prévue à cette fin. les portes et les bâtis qui ont été commandés doivent parfois être assemblés à pied d’œuvre. La porte de façade est flanquée à l’occasion de panneaux vitrés pour des motifs d’ordre architectural, ces panneaux peuvent être fixes ou peuvent s’ouvrir comme une porte. Les entrées secondaires sont ordinairement constituées d’une simple porte
La fenêtre est un ouvrage placé dans une baie ouverte dans un mur. Il sert à l’éclairage et, dans certains cas, à la ventilation.
Les différents systèmes de fenêtres
Il existe différents systèmes de fenêtres :
fenêtre à la française : fenêtre à un ou deux vantaux ouvrant vers l’intérieur.
- fenêtre à l’anglaise : idem mais ouvrant à l’extérieur.
- fenêtre pivotante : fenêtre à un ou plusieurs châssis accolés ouvrant par
rotation autour d’un axe vertical quelconque.
- fenêtre basculante : fenêtre à un ou plusieurs châssis superposés ouvrant
par rotation autour d’un axe horizontal quelconque
. Généralités :
Un plancher est un élément porteur horizontal séparant deux étages d’une construction. Les planchers prennent appui, soit sur des murs, soit sur des poutres.
Les principaux types sont :
LES PLANCHERS A CORPS CREUX ET POUTRELLES.
LES PLANCHERS A DALLE PLEINE EN BÉTON ARME.
LES PLANCHERS PRÉFABRIQUÉS AVEC PRE-DALLES
Les autres types de dalle :
dalle nervurée dans une direction
dalle nervurée dans deux directions
dalle champignons
plancher en bois
plancher métallique
Généralités
la toiture terrasse est formée par le plancher supérieur du bâtiment ,elle doit assurer les fonctions suivantes :
isoler thermiquement la construction
être étanche et doit assurer l’évacuation des précipitations de manière efficace .
Afin de remplir toute ces rôles ,ta toiture terrasse est composée d’un certain nombre de couches de différents matériaux remplissant chacune une fonction spécifique .
On trouve successivement les éléments qui suivent :
un plancher de support
une forme de pente destinée à donner l’inclinaison
un par-vapeur dessiné à empêcher la pénétration de l’humidité provenant de l’intérieur du bâtiment dans l’isolation thermique
un isolant thermique
une étanchéité souvent composée de plusieurs couches
une couche de protection de l’étanchéité
Acrotères : quelle que soit la forme des acrotères ,il est recommandé de prévoir le dessus en pente vers la terrasse afin d’éviter le ruissellement de l’eau sur la façade .Le raccordement des parties horizontales de l’étanchéité avec les parties verticales remontant sur le mur acrotère doit être réalisé de manière à éviter toute possibilité d’infiltration d’eau sous l’étanchéité .
En général le raccord se fait par un arrondi de 4 cm de rayon pour permettre d’appliquer ,sans dommage pour elles ,les feuilles d’étanchéité .
Descentes d’eau : les descentes d’eau doivent assurer l’évacuation de l’eau tombant sur la toiture par les plus grandes chutes de pluie prévisibles .Il ya lieu de prévoir la sections à raison de 1 cm2 par m2 de toiture .Les descentes sont soit intérieurs et cachées dans l’épaisseur
G-LES ESCALIERS
Définition :
Ouvrage permettant de se déplacer à pied d’un niveau à un autre d’une habitation.
GIRON
Distance comprise entre deux nez de marche successifs ou largeur de la marche s’il n’y a pas de nez.
H Hauteur :
Distance verticale comprise entre deux marches consécutives.
Escaliers à marches droites :
3-1- GÉNÉRALITÉS :
Ce sont les escaliers les plus courants. Ils sont constitués de marches rectangulaires et toutes identiques entre elles. Voir exemples
3-2- DIMENSIONS DES MARCHES :
on dimensionnera les marches en utilisant la formule ci-dessous appelée relation de Blonde 1
Définition :
Rôle de l’assainissement :
Il consiste à recueillir et à évacuer, le plus rapidement possible, sans stagnation, les eaux polluées provenant d’une agglomération humaine de telle façon que les produits évacués ne puissent en aucune manière, souiller le milieu récepteur et nuire à la santé des habitants.
-canalisation :
On appelle canalisation d’une construction, le réseau des conduites qui guident l’ensemble des eaux usées et des eaux pluviales hors du bâtiment, vers un cours d’eau après les avoir traitées si nécessaire
-Eaux usées
Les eaux qui circulent dans les canalisations peuvent être classées en 4 catégories :
a-les eaux usées ménagères :Elles proviennent des lavabos, douches, baignoires, éviers, elle ne présente que danger pour les conduites
système unitaire :
Dans le système unitaire, les eaux pluviales les eaux usées d’origine domestique et les eaux usées industrielles sont réunies dans un réseau unique de collette
système séparatif :
Il consiste en l’élaboration de deux réseaux
-Descente d’eaux usées :
Dans une construction, les eaux usées provenant des cuisines, buanderies, bains,…sont recueillies dans des tuyauteries verticales appelées colonnes de chute indépendantes des descentes d’eaux pluviale.
-Descente d’eaux pluviales :
Les descente d’eaux pluviales ne doivent jamais recevoir d’eaux usée .
Elles sont généralement placées le long des façades en dehors du bâtiment.
Le dimensionnement de ces conduites doit être fait avec précise mais cependant une méthode très rapide peut être utilisée.
Regard de visite :
1.1-Rôle : le rôle des regards de visite est de permettre l’accès aux canalisation pour les curages, de plus ils assurent la ventilation des égouts.
1.2-Emplacement :les regards de visite doivent être installés :
à chaque fonction de canalisation.
à chaque changement de direction.
à chaque changement de pente.
dans les parties droites et en pente régulière tous les 50 cm.
1.3-Caractéristiques : les regards de visite comprennent :
Un radier.
Une cheminée verticale.
Une dalle supérieure.
Un dispositif de recouvrement.
Une échelle de descente
FOSSE SEPTIQUE :
Dans les centres urbaines ,pourvus d’un système d’égouts, les eaux usées sont traitées dans les stations d’épuration.
DÉTERMINATION DES DÉBITS ET DES DIAMÈTRES :
INTRODUCTION :
Vu que les diamètre des collecteurs sont calculés en fonction des débits des liquides qu’ils reçoivent, il convient d’étudier tout d’abord les tuyauteries d’alimentation des appareils à raccorder.
A-Calcul des diamètre des tuyauteries d’alimentation :
1-Généralité :
Tout réseau d’eau doit être établir de telle sorte que pendant les périodes de pointes de consommation, il ne puisse se produire de dépression dans les canalisations d’alimentation.
DÉFINITION EXACTE D’UN CAHIER DE CHARGES
Il mentionne les servitudes de toute nature grevant l’immeuble, le volume et les conditions d’implantation des constructions ainsi que les équipements dont la réalisation incombe à la commune et à ceux qui seront réalisés par le lotisseur
CAHIER DES CHARGES DÉFINITIF - Document, annexé à un marché, qui énonce l'ensemble des conditions et obligations liées à l'exécution d'un contrat de travaux. C’est aussi un document contractuel qui mentionne et précise les conditions d’ordre administratif et juridique ainsi que les obligations que doivent respecter les entreprises, telles que : date d’achèvement des travaux, pénalités en cas de retard, formule de révision des prix, responsabilité des entreprises
LES TEXTES LÉGAUX
Le législateur a élaboré divers textes légaux afin d’orienter et de contrôler le développement des villes. Ces principaux documents sont :
L’URBANISME :
Définition de Le Corbusier : L’urbanisme est l’aménagement des lieux et des locaux divers qui doivent abriter le développement de la vie matérielle, sentimentale et spirituelle dans toutes ces manifestations individuelles ou collectives. Il embrasse ainsi bien les agglomérations urbaines que les groupements ruraux. Les trois fonctions fondamentales sont: habiter, travailler et se recréer. Ses objets sont: l’occupation des sols, organisation de la circulation, la législation.
Le plan d’occupation des sols. (POS)
Le P.O.S. est un document qui définit les conditions d’utilisation et d’occupation des sols pour les différentes parties du territoire. Le P.O.S. est obligatoire pour les communes de plus de 10 000 habitants. C’est un document qui suit les indications générales du S.D.A.U., et précise d’une manière plus fine l’affectation des terrains
Les plans d’aménagement
Lorsque les zones d’urbanisation sont choisies, des « plans d’aménagement » sont établis, soumis enquête publique, éventuellement modifiés, et finalement approuvés par décret
Les plans de lotissement
Ces plans sont établis (souvent au 1/500) par les propriétaires qui veulent « lotir » leur terrain, c’est-à-dire le diviser en parcelles destinées à l’habitation, à l’industrie, au commerce, etc.
Plan de situation
Le plan de situation d’une construction doit permettre de localiser facilement le terrain dans l’agglomération. Il est fait pour positionner le bâtiment dans l’environnement par rapport au dessin routier, de chemin de fer et par rapport à divers équipements tel que l’école, l’hôpital, le cinéma; par rapport à l’ensemble des constructions environnants.
Sur le plan figurent :
le nom de la ville, le nom de quartier ;
l’orientation ;
les voies de desserte avec leur nature et leur dénomination (le nom de la rue) ;
les références cadastrales ;
Ia représentation pochée de la partie à bâtir ;
l’échelle (1/10 000 ; 1/5 000 ; 1/2 000 ; 1/1 00
Plan de masse
C’est un plan d’ensemble à petite échelle qui situe le bâtiment par rapport aux limites du terrain suivant les données du plan cadastral. Il donne toutes les informations extérieures à la construction. Sur ce plan on retrouve:
La voie publique existante ou prévue, son alignement c. à. d. la ligne de séparation entre la voie publique et la propriété privée.
tracé des voies de desserte
La ligne de bâtisse fixant l’axe de la façade coté rue
limites du terrain
limites des constructions projetées
la superficie
Plan cadastral
Les autorités administratives tiennent à la disposition des architectes et des géomètres une série de documents appelés « plans cadastraux ». Les services du cadastre s’occupent des terrains et des immeubles. Chaque commune est divisée en sections; en grandes zones p.ex.: « section A, section B ».
Plan de bornage
Ce plan est également appelé « Plan terrier » ou « plan parcellaire ». Il est dressé par un géomètre expert en échelle 1/500 ou plan cadastral de la parcelle. Le géomètre expert relève sur place toutes les bornes à l’aide des instruments topographique pour faire le levé très précis des limites de la propriété. Sur le plan figurent :
• La section cadastrale, le numéro parcellaire ;
• Les limites du terrain, la position des bornes et leur repérage ;
• Les cotes et les angles d’implantation des bornes, le nom de propriétaire ;
• Les noms de la préfecture et de la commune ;
• Le numéro des parcelles voisines ;
Plan d’implantation
Le plan d’implantation est un plan essentiel ; il faut reporter sur le plan de bornage la position des bâtiments d’après les plans de l’architecte ; travail simple en apparence, mais il faut soigneusement vérifier tous les points donnés et surtout rattacher les bâtiments à des repères fixes afin que le chantier puisse effectuer le tracé. La meilleure solution consiste à tracer deux axes de référence et à rattacher tous les bâtiments à ces axes. Des calculs trigonométriques sont parfois indispensables
Villas individuelles
1*- la villa individuelle est une habitation isolée construite au milieu d’un terrain aménagé en jardin ;
2*- la superficie minimale d’un lot est de 600 m 2 et la maximale est de 1600 m 2 ;
3*- la largeur minimale d’un lot en bordure de la voie publique est de 20 mètres ;
4*- le coefficient d’occupation du sol (C.O.S.) ne doit pas dépasser 25% ;
. Villas jumelles
1*- les villas jumelles sont construites en mitoyenneté et forment par groupe de deux une unité architecturale.
2*- la superficie minimale d’un lot est de 360 m 2 ;
3*- la largeur minimale d’un lot en bordure de la voie publique est de 15 mètres ;
4*- le C.O.S. ne doit pas dépasser 30%
Villas mitoyennes
1*- la villa mitoyenne est une habitation ayant un ou deux murs mitoyens avec la ou les villas contiguës de manière à former un ensemble architectural cohérent de 3 villas au minimum et 8 villas au maximum ;
2*- la superficie minimale d’un lot est de 200 m 2 et la maximale est de 360 m 2 ;
3*- la largeur minimale d’un lot en bordure de la voie publique est de 10 mètres ;
Les cuisines
Les cuisines doivent avoir une surface minimum de 6 m 2 et être éclairées et aérées par une ouverture vitrée d’au moins 1 m 2 de superficie s’ouvrant directement à l’air libre sur une espace ayant au minimum 4 mètres de largeur.
Les salles d’eau et les W.C.
La salle d’eau aura une superficie minimum de 1,30 m 2 et la superficie des W.C. ne devra pas descendre en dessous de 0,85 m 2.
DEMANDE EN AUTORISATION DE BÂTIR
Pour construire, modifier, réparer, restaurer, transformer, surélever, aménager ou démolir un bâtiment ou une construction à l’intérieur du périmètre municipal, une autorisation écrite est obligatoire. Cette autorisation est délivrée par le Chef des Services municipaux.
FORME DE LA DEMANDE
La demande en autorisation de construire devra être établie sur un imprimé délivré par la Municipalité et comporter les noms, prénoms, domicile du propriétaire ou de son procureur fondé, le nom de l’architecte, la situation des lieux, le numéro du titre foncier ou de la réquisition, le détail des ouvrages projetés, la surface couverte à construire, la surface totale des constructions s’il y a un ou plusieurs étages le nombre de logements, le nombre de pièces habitables, la durée probable des travaux, la nature des matériaux employés et le montant approximatif des travaux à exécuter.
SUITE À DONNER AUX DEMANDES
Dans le délai de deux mois à partir de la date du dépôt constatée par le récépissé, l’Administration délivre l’autorisation de construire si l’ouvrage projeté répond aux prescriptions du Règlement
Acceptation : Si les plans ont été bons, on délivre l’autorisation de construction qui est valable pendant un an et si le propriétaire n’est pas prêt d’achever ses travaux durant cette année on lui accorde une prolongation de six mois.
2* Les plans jugés mauvais, c’est à dire « refus » ; les plans doivent être modifiés.
Refus : Si les plans ont été jugés mauvais, c’est à dire non-respect de la construction ; construction ne répondant pas à la zone ou construction située dans la zone interdite, le projet est refusé et une lettre recommandée est adressée au propriétaire lui expliquant les raisons du refus.
Les plans doivent être modifiés : Si les plans ne respectent pas les règles, mais ils peuvent être modifiés, le pétitionnaire est avisé pour retirer les plans et les corriger.
INTERRUPTION DE TRAVAIL
En cas d’interruption de travail, le propriétaire, l’entrepreneur et l’architecte sont tenus d’assurer la solidité des constructions exécutées, à défaut de quoi les Services Municipaux poursuivront l’exécution aux frais, risques et périls des propriétaires, de tous les travaux nécessaires à la solidité de l’ouvrage, ainsi qu’à l’enlèvement des matériaux et échafaudages embarrassant la voie publique ainsi qu’aux réparations des dégradations causées à la voie publique et à ses dépendances.
ESTHÉTIQUE DES CONSTRUCTIONS
La Municipalité pourra refuser le permis de construire lorsque la construction, la transformation ou la restauration projetées porteraient préjudice soit à l’aspect d’un édifice, soit à l’aspect ou au caractère d’un quartier, d’une rue, d’une place ou d’un passage et seraient de nature à nuire à la destination ou à l’harmonie de ce site.
DÉGRADATIONS CAUSES A LA VOIE PUBLIQUE
Aussitôt après l’achèvement de leurs travaux les pétitionnaires sont tenus d’enlever tous les décombres, tous les matériaux, débris, immondices, etc.… et de réparer immédiatement tous les dommages qui auraient pu être causés à la voie publique ou ses dépendances, et rétablir en leur premier état les chaussées et trottoirs, afin de les rendre à la circulation.
PERMIS ET INTERDICTION D’HABITER
La construction une fois terminée, il est procédé sur la demande obligatoire du propriétaire, à la réception de la construction. Lors de cette réception, si la construction est reconnue comme ayant satisfait aux conditions imposées, l’Administration délivre dans un délai de huit jours le permis d’habiter ou d’occuper. Au cas contraire, l’Administration peut frapper l’ensemble d’interdiction d’habiter et imposer toutes modifications nécessaires sans préjudice de l’application des sanctions prévues.
Croquis
Un croquis est un dessin effectué à main levée généralement au crayon sur papier.
Il sert le plus souvent à expliquer un sujet difficile en apportant un supplément graphique.
« Un bon croquis vaut mieux qu’un long discours » dit-on. Le croquis sert aussi à relever un motif graphique intéressant.
Le croquis est fait sans échelle mais en respect les proportions des surfaces et des volumes.
Schéma
Dessin à l’échelle ou non, très simplifié, surtout destine à Ia représentation du fonctionnement, Ia représentation des liaisons entre les installations, entre les pièces, ou entre les bâtiments d’un ensemble etc.
Ce genre de dessin est exécuté au début de l’étude, lors des recherches sur Ia circulation entre les pièces d’habitation.
Esquisse
Une esquisse est un dessin provisoire effectué très rapidement au crayon sur calque, en traits fins. Elle est faite à main levée, approximativement à l’échelle.
Ce genre de dessin est lait lors des recherches de formes ou de volumes et est recommencée un grand nombre de fois afin d’obtenir une version idéale qui réponde au PROGRAMME du bâtiment.
Perspectives
Art de la représentation en deux dimensions (sur une surface plane) des objets tels qu'ils sont vus en réalité dans les trois dimensions, en restituant les impressions de profondeur, d'éloignement (fuite) et de disposition relative des différents plans ; le dessin en perspective, ou dessin perspectif (adj.), fait appel à des règles précises. Elles nous aident d’étudier mieux le bâtiment en faisant des observations de différents points de l’objet architectural
Maquette
Reproduction fidèle en volume, à échelle réduite, de tout ou partie d'un bâtiment, d'un ouvrage d'art, d'un quartier urbain, etc. à partir de dessins et de plans. Elle est une visualisation du bâtiment en volume.
Avant - projet
Un avant-projet est une étape de l’étude qui comprend des esquisses, des schémas et des plans provisoires.
L’avant-projet est une étape nécessaire – son but est toujours de gagner du temps.
Un avant-projet comprend :
Une coupe de principe;
La vue en plan de chaque étage;
L’étude de la toiture;
Les élévations des façades;
Des devis descriptifs sommaires;
Des perspectives sont souvent ajoutées.
Projet définitif
Le projet définitif comporte tous les plans d’exécution réalisés à I’aide des plans provisoires de l’avant-projet, avec des plans de détails et des devis.
Tous les plans sont exécutés aux instruments à une échelle 1/50, avec la plus grande précision et avec le plus possible de renseignements chiffrés.
Un projet définitif comprend :
Le plan de masse et d’implantation. Ce dernier est élaboré à partir du plan de bornage. Il montre l’emplacement du bâtiment;
Plan des fondations avec indication des canalisations d’évacuation des eaux pluviales et ménagères ;
Plan du rez-de-chaussée ;
Plan des étages ;
Plans d’exécution
On appelle « plan d’exécution »un plan qui va servir à la réalisation du travail sur chantier.
Il est dessiné au bureau d’études et des copies sont remises au chef de chantier pour être distribuées aux équipes.
le devis : Liste contractuelle des ouvrages composant des travaux, et de leurs coûts respectifs.
On distingue :
le devis descriptif : Pièce contractuelle centrale de tout marché de travaux.
Il donne la description technique détaillée par poste et par corps d'état de l'ensemble des travaux à effectuer et les matériaux employés ; indissociable des plans auxquels il se réfère, il indique tout ce que ces derniers ne peuvent préciser : le dosage des bétons, le type de carrelages, le nombre de couches de peinture, etc. Il mentionne aussi, en général, la marque commerciale et les références des composants préconisés.
le devis quantitatif sert à déterminer les quantités par nature d’ouvrage. Il donne la liste détaillée, par poste, du nombre d'unités d'oeuvre (mètres linéaires -ou ml; m 2; m 3; unités u ) qui composent les marchés de chaque corps d'état.
le devis estimatif donne, pour chaque poste et chaque corps d'état, une estimation préalable des prix envisageables, servant de base à la consultation ou à l'appel d'offres.
Les projets définitifs
II n’est pas d’exemple que, passant à la rédaction des plans d’exécution, on ne soit amené à modifier plus ou même profondément la conception des ouvrages. Jusque là la préoccupation des dimensions exactes n’avait pas été un souci majeur. Elle va maintenant le devenir .
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